LES GRANDS ROMANS HISTORIQUES DE GARY JENNINGS


- GARY JENNINGS. L'AUTOMNE AZTEQUE. Aztec Autumn. Editions du Rocher. Collection Grands Romans. 1999. 430 pages. 24x16. Broché. Traduit par Karin Bodson. Remerciements. 20.58 Euros. (135 F).

Lorsqu'on a lu « Azteca » du même auteur, on a peut-être envie de connaître la suite, c'est-à-dire la post-conquête de l'Empire aztèque. Ce roman à la fois initiatique et historique est aussi instructif et enrichissant que le premier. Tenamàxtli a six ans lorsqu'une nouvelle incroyable arrive jusqu'à Aztlan, dont son oncle est le gouverneur : le Monde Unique vient d'être envahi par des étrangers à la peau blanche, qui ont traversé l'océan sur des maisons géantes surmontées d'immenses ailes blanches. Bientôt les nouvelles se font encore plus alarmantes : ces étrangers vainquent les nations les unes après les autres, brisent les statues des dieux pour les remplacer par les leurs. Dès lors, pour le jeune homme une seule chose compte : restaurer l'Empire. Pour cela, il choisit de combattre l'ennemi sur son terrain. Il quitte les siens, entre en contact avec les Espagnols, apprend leur langue pour mieux percer les secrets de leur puissance. Foisonnant, hallucinant. Un chef d'oeuvre. Eléments très importants et précis en matière d'ethno-histoire.

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- GARY JENNINGS. SANG AZTEQUE. Aztec Blood. Editions du Rocher. Collection Grands Romans.. 2002. 660 pages. 24x16. Broché. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Philippe Baudoin. 22 euros.

Dans le Mexique du XVIIème siècle, la ''Conquista'' espagnole victorieuse a fait de l'Empire aztèque une colonie appelée Nouvelle-Espagne. L'antique civilisation indienne n'est plus qu'un tas de ruines : la plupart des temples sont recouverts par la végétation de la jungle et les palais des grandes cités comme Mexico sont remplacés par les églises de l'Inquisition. Les Indios quant à eux, sont réduits à devenir esclaves dans les mines d'où ils ne sortent jamais vivants, des bêtes de sommes, des serviteurs asservis et terrorisés, des mendiants. C'est dans cette nouvelle société en rapide transformation que l'orphelin Cristo le Bastardo, un métis mi-aztèque, mi-espagnol, nous conte son histoire. De par son sang vicié, car c'est ainsi que l'Eglise et la Couronne  considèrent le métissage, le narrateur Cristo nous explique pourquoi et comment un sale mestizos est puni à vie d'être né et mérite d'être traité pire qu'un chien ou un Indien. Eduqué, instruit par un prêtre qui lui fera connaître la culture et la littérature européenne, notamment espagnole, puis ensuite par un Guérisseur aztèque avec lequel il pourra approcher et connaître les secrets du chamanisme, les mythes de son peuple, ainsi de l'origine réelle de Tenochtitlan, du Serpent à plume, du mystère de la défaite incroyable de Montézuma face à Cortès, des terribles Chevaliers-jaguars, Cristo a appris à survivre dans la rue. Cependant, face aux dangers qui le menacent, il doit poursuivre une véritable quête idenditaire au cours de laquelle il tente de se situer socialement et surtout de percer le secret de sa naissance qui conditionne tous ses actes et qui est la colonne vertébrale du livre. Par la force des choses, mais en s'y faisant très bien, Cristo devient aventurier, coureur de jupons, voleur et tricheur. Il fréquente alors presque tous les milieux de la Nouvelle-Espagne, des léperos aux autorités presque toutes corrompues – en l'occurrence dans l'authentique affaire des récoltes du maïs qui affama le peuple – qui officient dans les allées du pouvoir au grand palais de Mexico.

Anti-héros, malgré lui, au demeurant fort attachant, toujours trahi et pourchassé, prisonnier de sa pénible condition de sang-mêlé, Cristo se heurte violemment à la cruauté de l'Inquisition comme à celle de la Couronne. Une échappée en Europe avec un compagnon d'aventure, Mateo, rencontré au cours de ses pérégrinations, grand bretteur et acteur, accessoirement auteur de pièces de théâtre et metteur en scène bien souvent pour sauver Cristo d'un mauvais pas et qui n'a de cesse de s'en prendre à un certain Cervantès – n'empêchera pas le narrateur de devoir affronter sa funeste destinée. La fantastique histoire de Cristo forme une intrigue foisonnante aux multiples péripéties : complots en tout genre, mythes aztèques, sacrifices et tortures, mais aussi pages d'un érotisme et d'un humour ravageurs qui, en parallèle du fil directeur, de la matrice du livre, fonctionnent de façon superbe. Les termes aztèques qui évoquent les plaisirs de la chair demeurent ici inoubliables, imagés et, l'histoire d'amour qui attend Cristo se révèle par contraste somptueuse. Offrant une impressionnante reconstitution de la société mexicaine de l'époque, Sang aztèque est une oeuvre initiatique majeure dans laquelle on imagine très bien le plaisir jubilatoire qu'a eu l'auteur à faire partager autant de connaissances tout en maintenant en haleine, et pour ne pas dire en alerte, le lecteur du début à la fin du livre. Cet ouvrage est un hommage sublime à l'âge d'or du  roman picaresque.

Après le best-seller Azteca, qui décrivait l'Empire aztèque et le début de la Conquête à travers le regard d'un indigène, et Automne aztèque, dont l'action se situait une vingtaine d'années plus tard, Sang aztèque constitue le troisième et dernier volet de cette trilogie sans égal. Gary Jennings est décédé en 1999.

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Gary JENNINGS. RAGE AZTÈQUE. Aztec Rage. Éditions du Rocher. Collection « Grands romans ». 2007. 554 pages. 24 x15. Broché. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Thierry Chevrier avec la collaboration de Nathalie Nunes. 22 Euros.

Dans le Mexique de 1808, théâtre d’un Empire aztèque foulé aux pieds par trois cents ans de présence espagnole, Don Juan de Zavala est un hidalgo séduisant et son adresse à l’épée n’a d’égale que son habileté équestre et sa passion pour les femmes. Pourtant, l’homme est un gredin dévoyé qui a tous les charmes du caballero. La capiteuse Isabella pourrait bien l’apprendre à ses dépens. Mais le destin peut être tragique et quand il est sur le point d’entrer en possession de l’héritage de son oncle, Don Juan se trouve accusé par le mourant d’être d’origine aztèque illégitime, et sa vie bascule. Alors que, pour des raisons obscures, on l’inculpe de son assassinat un secret, surgi du passé mystérieux de Zavala, vient menacer la couronne d’Espagne. Don Juan comprend qu’il doit fuir. Sur la route de Vera Cruz, il rencontre Carlos, fripon aussi charmeur qu’érudit, et s’enfonce avec lui dans la jungle perdue des Mayas, infestée de serpents et de crocodiles. Après la mort tragique de son compagnon, Zavala, caché sous l’identité de ce dernier, gagne l’Espagne, décidé à élucider le sombre mystère qui le menace. Entre les guerres napoléoniennes, secouée et déchirée par les soubresauts féroces de la rébellion contre les soldats de l’Empire, cette Espagne-là est loin d’être paisible. Elle offre pourtant à Don Juan les plaisirs de la splendide Barcelone, et cet exutoire qu’est la résistance. Lorsqu’il revient au pays, Don Juan est déterminé à reconquérir son héritage. Mais les ruines de l’Empire aztèque grondent et se réveillent. Nous sommes en 1810. La révolte éclate, menée par un prêtre guerrier, la Padre Hidalgo. Don Juan de Zavala embrasse alors la cause révolutionnaire et unit sa destinée à celle des insurgés. Galvanisé par le courage et l’insolence de Marina, une jeune Aztèque aux courbes affolantes, il va plonger dans le soulèvement qui aboutit à l’indépendance du Mexique en 1821. Roman de l’impitoyable revanche d’un Empire outragé, celui des Aztèques, sur la morgue décadente de l’Espagne moribonde du Grand Siècle, cet ouvrage remuant, violent, féroce et éminemment érotique signe aussi les derniers temps de la Nouvelle-Espagne.

Romancier prolifique, Gary Jennings (1928-1999) est l’auteur de nombreux ouvrage dont le célèbre Azteca, premier du cycle. Réputé pour s’informer, en prenant le temps qu’il faut, de façon rigoureuse aux meilleures sources, Jennings demeurera pour longtemps un des plus grands romancier de l’Histoire.

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Gary JENNINGS. MARCO POLO. LES VOYAGES INTERDITS. Tome I Vers l’Orient. The Journeyer. Éditions SW Télémaque. 2008. 608 pages. 24 x15. Carte. Broché. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Thierry Chevrier. 23,50 Euros.

Marco Polo sur son lit de mort, est pressé par ses amis de confesser ses mensonges et affabulations. Il leur répond : « Je ne vous ai pas dit la moitié de ce que j'ai vu et fait ! » Cette première époque, Vers l'Orient (1271-1275), démarre de la luxueuse propriété familiale et des bas-fonds de Venise pour un beau jour partir vers la Chine de Kubilaï Khan en passant par la sensualité de Bagdad aux mille dangers de la route de la soie. Marco Polo révèle la « face cachée » de ses aventures, dans un récit picaresque, truculent et parfois terrifiant. Un roman « énaurme !!! » Gary Jennings relate “l’autre moitié” (restée inconnue) des aventures du fameux explorateur, jamais racontées car jugées susceptibles de heurter les sensibilités des Européens. Une partie de son intérêt réside incontestablement dans l’authenticité du récit. Pour écrire ce livre, l’auteur a suivi l’itinéraire de son héros en Italie, à travers le Moyen-Orient et jusqu’en Asie du sud-est, usant de différents modes de transport, du chameau à l’éléphant. Il agrémente ainsi cette picaresque histoire de descriptions merveilleusement détaillées des paysages, du climat, de la flore et de la faune que Marco Polo a connu sur la route. Son récit ne cache rien non plus des arrêts lascifs et des à-côtés parfumés de luxure : sa description des pratiques sexuelles, marquée d’un zèle presque clinique, n’est surclassée dans l’enthousiasme que par sa minutie à décrire les tortures orientales. Comme dans Azteca, qui décrit le Mexique d’avant la conquête espagnole, Marco Polo Les voyages interdits enrichit de connaissances géographiques et culturelles dignes du savoir d’un anthropologue. Gary Jennings réussit à combiner l’infatigable soif du chercheur avec le talent d’un conteur, dessinant d’immortels portraits de Marco et de ses compagnons de voyage. L’écrivain-historien Gary Jennings fait preuve ici d’un élan irrésistible et d’un sens méticuleux du détail pour produire un considérable diamant du savoir, à la fois époustouflant et fort croustillant. En tant que roman de voyage, il est impeccable, et les aventures vécues par les personnages semblent être contées par quelque Schérérazade érudite et sensuelle, empilant l’émerveillement sur l’étrangeté.

Auteur de plusieurs très grands romans historiques excellemment documentés aux meilleures sources, Gary Jennings (1928-1999) a littéralement arpenté le monde sur les traces de Marco Polo pour écrire ce monument ; comme pour ses autres romans, Jennings, installé au Mexique, s’est toujours basé sur des recherches érudites et rigoureuses.

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Gary JENNINGS. MARCO POLO. LES VOYAGES INTERDITS. Tome II À la cour du grand Khan. The Journeyer. Éditions SW Télémaque. 2008. 686 pages. 24 x15. Résumé du tome I. Carte. Broché. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Thierry Chevrier. 23,50 Euros.

Cette deuxième époque (1275-1295) est aussi luxuriante, hallucinante et fascinante que la première. En 1725, après quatre années d’un voyage mouvementé relaté dans le précédent tome, Marco Polo arrive enfin à Khanbalik. Il y découvre les raffinements et les cruautés de la cour du grand Khan Kubilaï qui, impressionné par l’habileté du Vénitien, lui confie de délicates et dangereuses missions. Tour à tour espion, ambassadeur et même collecteur d’impôt, Marco Polo complète sa collection de coutumes et d’expérience extrêmes, à travers la Chine, le Tibet, l’Inde. Il raconte, avec la même verve moqueuse, un brin de tendresse et surtout beaucoup d’ironie parfois cruelle, tout ce qu’il n’aurait pas dévoilé par crainte de heurter les sensibilités de son temps… et du nôtre. Les voyages interdits offrent encore aujourd’hui une source quasi inédite sur la découverte de l’Extrême-Orient. Jennings l’a enrichi de connaissances géographiques et culturelles dignes d’un anthropologue, tout en posant un regard libertin et impertinent sur les tabous de l’Occident.

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Gary JENNINGS. L’EMPIRE BARBARE. Tome I Thorn le prédateur. Raptor. Éditions SW Télémaque. 2010. 639 pages. 24 x15. Note du traducteur-narrateur initial. Carte. Broché. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Thierry Chevrier. 24 Euros.

L’Empire barbare (Raptor) est le récit laissé dans un « Mémoire » par un Goth nommé Thorn (né vers 455, mort en 526 après J-C.), qui raconte les tempétueux exploits et aventures de sa vie, à partir de son peu orthodoxe éveil à la sexualité dans un monastère, puis un couvent, où il va découvrir qu’il est physiquement androgyne, à la fois homme et femme : un hermaphrodite, en somme. On assiste ensuite à son exaltant périple à travers l’Europe avec l’ex-centurion Romain Wyrd, un baroudeur devenu chasseur et coureur des bois, qui lui apprendra la vie sauvage, et l’initiera aux réalités du monde troublé d’alors (nous sommes à la jointure des Vème et VIème siècles après J-C. et l’Empire Romain est en pleine décadence) pour en faire un véritable guerrier. Leur errance aventureuse les conduit successivement en Suisse, dans les Terres Burgondes, puis à travers toute l’Europe centrale (Bavière, Autriche, Hongrie, Roumanie et Bulgarie) jusqu’à Constantinople et aux bords de la Mer Noire, et l’on suit l’ascension du Goth Théodoric de ses débuts jusqu’à sa conquête de l’Italie d’Odoacre (celui qui avait mis fin en 476 à l’Empire Romain d’Occident) et à l’organisation de son immense royaume (493-526), issu du mélange du courage Goth et du raffinement de Rome. Thorn entretiendra un rapport privilégié, comme maréchal de camp et diplomate, avec Théodoric le Grand, Roi des Ostrogoths, (ce Barbare éclairé a le même âge que lui) et partagera jusqu’au bout son fascinant destin.

Contrairement à beaucoup d’adaptateurs historiques, Gary Jennings a su s’absoudre de la morale chrétienne et de la mentalité inspirée de nos Droits de l’Homme d’après la Révolution pour tracer un portrait rude, mais sans doute très proche de la réalité, de cette époque troublée et brutale. Ainsi, s’il faut piller, on pille, et s’il faut tuer, on tue. Les impératifs moraux et tabous de notre époque volent en éclats, et le lecteur prude n’a qu’à bien se tenir ! Les aventures personnelles de Thorn sont étranges. C’est un « Rapace » qui sait être foudroyant et cruel, mais il se singularise par aussi par sa dualité extraordinaire, puisqu’il est à la fois incroyablement libre (ne pouvant jamais aimer totalement, il ne sera pas prisonnier du lien amoureux) et d’une riche sensibilité double (domination masculine, mais aussi finesse et charme féminins) L’observation qui en résulte de la condition féminine aux premiers temps du Moyen-Âge est décapante, car on s’aperçoit que la femme, bien plus libre dans l’Antiquité, a été assujettie à l’homme avec l’extension du christianisme, avec lequel Gary Jennings n’est pas spécialement tendre. Le roman est écrit dans un style percutant, plein de détails (parfois choquants mais toujours précis et intéressants) sur une période plutôt méconnue de nos jours ; il dépeint par exemple l’hérésie arienne, et le choc entre les religions païennes (grecque entre autres) et le christianisme.

Thierry Chevrier

Ve siècle de notre ère. Hanté par les dernières hordes de Huns sanguinaires, l’Empire romain d’Occident s’enfonce inexorablement dans le déclin et le chaos. Thorn, orphelin chassé des couvents où il a grandi, parcourt cet empire à la recherche de ses origines, des vallées perdues du Jura (où Jennings se rendra lui-même pour se documenter, s’inspirer de la configuration des lieux, reproduire par ses écrits l’exactitude géo-historique) aux sombres forêts des Carpates et jusqu’à l’embouchure du Danube. Ainsi débutent les mémoires de Thorn – être plus qu’ambigu – voyage palpitant au cœur d’un des âges les plus sombres, violents et méconnus des origines de l’Occident, exploré avec verve et une impressionnante culture historique dont seul un écrivain comme Gary Jennings pouvait faire montre. L’auteur d’Azteca et de Marco Polo nous entraîne sur les traces des Ostrogoths, de leur roi éclairé Théodoric le Grand (roi de 493 à 526) et de leur brève domination sur une grande partie de l’Europe.

Auteur de plusieurs très grands romans historiques excellemment documentés aux meilleures sources, Gary Jennings (1928-1999) a littéralement arpenté le monde sur les traces de Marco Polo pour écrire ce monument ; comme pour ses autres romans, Jennings, installé au Mexique, s’est toujours basé sur des recherches érudites et rigoureuses.

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Gary JENNINGS. L’EMPIRE BARBARE. Tome II Théodoric le Grand. Raptor. Éditions SW Télémaque. 2010. 637 pages. 24 x15. Note du traducteur-narrateur initial, note finale du même traducteur. Remerciements. Broché. Résumé du tome I. Traduit de l’anglais (États-Unis) par Thierry Chevrier. 23,50 Euros.

Thorn l’hermaphrodite est devenu l’homme de confiance de Théodoric roi des Goths, qui revendique ses droits sur les territoires d’un Empire romain d’Occident vacillant. De retour d’une mission auprès de l’empereur Zénon à Constantinople, Thor tombe aux mains de Strabo, le pire ennemi de Théodoric. Une violence inouïe se déchaîne alors pour la conquête du pouvoir. Confronté aux plus ténébreuses et fascinantes rencontres de son existence, Thorn n’en continue pas moins ses recherches sur les origines de son peuple et combat fidèlement aux côtés de son roi. Ensemble, ils marchent sur Rome pour bâtir un nouvel empire unique dans l’Histoire : l’Empire barbare.

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